mercredi 6 mai 2009

Oiapoque (Brésil)

Premiers pas sur le sol Brésiliens, seulement à trois heures de route de Kourou. Et un quart d'heure de pirogue! Destination Oiapoque, ville sur l'autre rive du fleuve du même nom. A Oiapoque, on vit le soir. La journée, la seule ville est absolument endormie, et se réveille le soir. Tout pleins de petites bobottes ouvrent, réunies autour d'une place centrale où l'on peut assister à des matchs de foot, démonstration de capoeira, break-dance... On y mange bien - des bonnes brochettes accompagnées de haricots rouges, riz, pois chiches et surtout pour pas cher... environ 4 euros. On peut aussi y boire la spécialité locale, la caïpirinha : au mixeur, mettre de la glace, du jus de citron verre, du sucre, et de la cachaça, alcool local. C'est un régal et ça raffraichie bien! On en a aussi profité pour alle voir un concert de Brega, musique brésiliennes, qui est magnifique à voir se danser, mais pas trop à entendre. En effet c'est tou tata tou ta en boucle... Bref c'était bien marrant, car pour y aller c'était l'inconnu total : on nous dit qu'il faut prendre le taxi pour s'y rendre, c'est à 10 minutes... On arrives devant un immense hangar avec de la techno à fond la caisse, et personnes à l'intérieur... super! Mais bon on a patienté en buvant des "caïpi" et les groupes de Brega sont arrivés vers 2h du mat...
Et sinon à part les soirées, on a quand même fait un truc de jour, à part dormir : les sauts Maripa. En Guyanais un saut c'est des rapides. Pareil pour une crique, c'est pas une crique c'est un petit cours d'eau, où en général il est très agréable d'aller se baigner. Bref, les sauts Maripa c'était vraiment chouette, un piroguier nous a déposé en bordure de forêt et après une petite demi-heure de marche on arrive devant ces immenses rapides. On a pu se baigner et se laisser porter par le courant c'était sympa. Jolie rencontre aussi avec des petits guyanais Amérindiens de passage par là, et qui provenaient d'un petit village au fin fond de l'amazonie. C'était vraiment génial de leur parler, et de voir que des peuples comme eux existent encore.
En clair a refaire

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